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Je te disais donc, qu’arrêter de compter tes calories allait te faire déstresser. Tu me diras peut-être : « Mais moi c’est tout le contraire : compter les calories me rassure et si j’arrête de le faire, je ne vais plus savoir en quelles quantités manger et je vais flipper à mort !! »
Tu penses que tu as besoin de compter tes calories pour savoir quelles quantités de nourriture manger chaque jour ? Mais comment faisaient les gens, d’après toi, avant les années 60 ?
Pour savoir dans quelles quantités manger, nous disposons de 2 choses fabuleuses : la faim et la satiété.
« Facile à dire… la faim, je connais bien. Mais la satiété, j’ai oublié ce que c’était. J’ai tellement abusé sur les crises alimentaires que mon estomac s’est distendu et je ne me sens plus jamais rassasiée ! »
Ah oui ? Tu penses que c’est parce que tu as trop mangé trop souvent que tu ne ressens plus la satiété ? FAUX ! C’est parce que tu t’es restreinte beaucoup trop souvent et trop longtemps que tu ne la ressens plus.
En réalité, un des effets de la restriction calorique dans ton corps est d’augmenter la sécrétion de cortisol (l’hormone du stress) et comme un excès de cortisol a pour effet – entre autres joyeusetés… – de diminuer la sécrétion de leptine (l’hormone de la satiété), chaque fois que tu manges, tu as l’impression d’être un puits sans fond… Cela dit, rassure-toi : ça peut tout à fait se rééduquer.
Car en plus de la faim et de la satiété – qu’on a trouvé le moyen de beaucoup trop intellectualiser – nous avons une autre chose merveilleuse à notre disposition pour savoir en quelles quantités manger : il s’agit de notre instinct.
Quand tu vas lâcher le contrôle avec la nourriture, lâcher le comptage des calories, lâcher la culpabilité de manger « pas ce qu’y faut, pas comme y faut, pas quand y faut » tu vas pouvoir commencer à rééduquer ta satiété. Pour ce faire, tu vas forcément avoir des moment où tu vas la dépasser, et la dépasser de beaucoup, mais c’est pas grave !! Au contraire : c’est top ! Parce que ça va te permettre d’expérimenter un inconfort physique. Et plus tu vas être sensible à cet inconfort, plus tu vas parvenir à trouver LE POINT à ne pas dépasser afin de ne plus l’éprouver (mais pour être dans cette démarche, il faut avoir au préalable apaisé sa relation à soi et à la nourriture). Et un beau jour, ce sera devenu tout naturel, comme « instinctif ».
Beaucoup trop d'intellect...
Rappelle-toi d’un dernier point concernant ton fonctionnement biologique : tu n’es pas le chef d’orchestre de ta digestion. Tu ne l’as jamais été ! Toi, tu décides de ce que tu mets dans ta bouche mais la digestion, c’est quelque chose qui est gérée par ton système digestif lui-même et depuis toujours.
Quoiqu’en dise tel tableau de valeurs nutritionnelles ou tel régime dogmatique, les aliments que tu avales seront traités par ton corps COMME IL L’ENTEND. Et c’est une bénédiction, car il est beaucoup plus sage que toi !
D’ailleurs, les scientifiques ont découvert des neurones dans nos intestins. C’est bien la preuve que depuis la création de l’Homme, il y a déjà là une forme d’intelligence qui peut totalement se passer de l’ingérence du cerveau !
Et c’est peut-être justement parce qu’on a beaucoup trop mis notre cerveau à contribution dans le fait de manger qu’on en est là : avec 900 000 personnes qui souffrent de TCA en France en 2021, un taux d’obésité qui va croissant et qui touche même les enfants de plus en plus tôt, et des rayons de librairies qui débordent de livres sur les dernières découvertes en nutrition, l’alimentation idéale, le régime parfait, les compléments alimentaires indispensables… et j’en passe.
Notre tête a transformé l’acte physique et simple de manger en un procédé complexe hyper-intellectualisé.
Et sur ce coup-là, je crois qu’on peut la remercier pour sa magnifique performance ! Ah oui, vraiment, là… Applaudissements, s’il vous plaît ! Magnifique victoire de la raison sur les instincts !
Ça me rappelle ce méchant immonde dans les Tortues Ninja, qui avait un cerveau à la place du ventre. Ça ne te dit rien ? Trop bizarre… Je te le mets à droite, pour mémoire. Eh bah ça : c’est toi quand tu comptes tes calories dans l’espoir de tout contrôler ! 😎
Alors arrête un peu de te croire toute-puissante avec tes petits calculs et fais confiance à la sagesse de ton corps et à ta biologie. Il utilisera toujours au mieux ce que tu lui donnes, il est programmé pour ça. S’il fonctionne de travers aujourd’hui, qu’il stocke trop le gras, qu’il ne le destocke plus ou que tu as faim tout le temps, ce n’est pas à cause d’un truc qu’il a fait de travers mais à cause d’un truc que TA TÊTE lui a FAIT FAIRE de travers. Nuance…
Relax avec l'Equilibre alimentaire : Tu sais déjà tout !
A l’idée d’arrêter de compter leurs calories, beaucoup de femmes ont peur de ne plus savoir du tout non seulement dans quelles quantités manger mais aussi quoi manger. Or, si tu souffres ou a souffert de TCA, ou si tu cherches depuis un moment à perdre du poids, je ne prends pas trop de risque en affirmant que tu es déjà SURINFORMÉE !
L’équilibre alimentaire n’est pas quelque chose de sorcier. Les recommandations du site mangerbouger.fr résument les choses avec beaucoup de simplicité et de bon sens.
Au fond, TU SAIS. Tu sais qu’une alimentation équilibrée doit comporter une belle part de légumes et de fruits, qu’ensuite viennent les féculents pour la satiété et l’énergie à diffusion lente, que tu peux compléter avec des protéines animales et/ou végétales, dans une quantité plus ou moins égale à la taille de ta paume de main. Le reste, ce sont des histoires de produits laitiers, de matières grasses, de noix et autres graines pour les omega 3, de variété, de saisons, blablabla…
L’objet de cet article n’est pas de t’apprendre l’équilibre alimentaire mais de te faire réaliser que :
1 – tu t’y connais déjà très bien ;
2 – ton souci n’est pas de ne pas savoir quoi faire mais de ne pas arriver à le faire.
Et l’une des raisons pour lesquelles tu n’y arrives pas, c’est qu’au lieu de te faire confiance, tu t’intéresses beaucoup trop à des données chiffrées !
"Non !" à la dictature des chiffres
Après les arguments historiques, scientifiques et physiologiques, voici ce que j’appellerais les arguments sociétaux.
As-tu remarqué à quel point les chiffres et la technologie dirigent nos vie et notre santé ces dernières années ?
On nous vend des montres ultra-connectées qui nous disent quelle est notre fréquence cardiaque, le nombre de pas qu’on fait, le nombre de calories qu’on dépense ; on nous pond des applis pour rentrer les calories de tout ce qu’on avale ; on pèse sa nourriture au gramme près ; on s’astreint à manger chaque jour entre « 1,8 et 2,2g de protéines par kilos de poids de corps » ; on se pèse beaucoup trop souvent et le poids qu’on fait peser sur l’écorce terrestre détermine si on peut être fière de soi ou rester cachée dans un trou ; et je ne te parle même pas des milliers d’études menées chaque année qui veulent nous persuader des méfaits du sucre, des méfaits de prendre un p’tit dej, des méfaits de manger gras le soir, des méfaits de ne pas manger à heures fixes etc. etc. etc. et tout ça à coup de statistiques, à coups de pourcentages, à coup de chiffres, encore et encore !
Et alors qu’elles sont invérifiables à notre petit niveau, on ne remet jamais ces infos en question : nous les tenons pour vraies, quoiqu’il arrive. Mais où va-t-on avec tout ça ?
Je vais te dire où on va : on se dirige tout tranquillement et bien docilement vers une désappropriation totale de notre souveraineté et de notre bon sens en matière de santé, au profit de gens qui sont payés pour penser à tout à notre place.
Je ne suis pas une anarchiste, je comprends que des règles existent, mais je déplore beaucoup que le bon-sens soit devenu le monopole des inventions technologiques. Qui le dénaturent bien souvent, puisqu’elles ne prennent pas en compte les caractéristiques individuelles : ce qui convient à mon voisin ne me conviendra pas forcément à moi ; ce qui est vrai pour mon conjoint ne le sera pas forcément pour moi. Mais ça, c’est pas une montre ou une appli qui va me le dire : c’est MON expérience, c’est MON bon-sens, ce sont MES tripes !
J’ai même vu une pub pour une montre qui te dit quelle émotion tu ressens ! Mais… mais enfin… les émotions, on apprend ça à la maternelle ! « Monsieur Colère est tout rouge et parle fort… alors que Madame Tristesse s’habille toujours en noir. » C’est la base, bon sang de bonsoir ! On n’est donc tellement plus capable d’identifier nous-mêmes nos émotions qu’on donne – que dis-je : qu’on ABANdonne – ce pouvoir à une montre ?
Connectées à tout...sauf à soi.
Dans le même ordre d’idées, j’entendais sur Youtube l’autre jour une fitgirl qui déclarait, en toute candeur : « grâce à une appli de comptage des calories, j’ai réalisé que pendant longtemps, je mangeais trop peu : j’étais à 900 calories par jour alors que j’aurais dû être à 2300 calories, soit 1400 de plus, pour satisfaire mes besoins par rapport à ma taille et à mon activité physique. » Mais… mais enfin…avec tout le sport que tu faisais, tu devais forcément avoir des vertiges, un sommeil pourri, une énergie en berne, une faim quasi-permanente et des règles anarchiques voire inexistantes, tout ça n’aurait donc pas pu t’informer bien avant que tu mangeais trop peu et t’en informer directement ? Il te fallait une appli « connectée », là encore, pour arriver à faire preuve de bon sens ?! Ça me laisse tellement perplexe en fait. Je ne comprends pas…
En vérité, j’ai le sentiment que plus on est connecté à la modernité ambiante, plus on est déconnecté de soi-même. Une montre me dit ce que j’éprouve maintenant, c’est la meilleure !! Sûrement sur la base de chiffres encore une fois : fréquence respiratoire, fréquence cardiaque et j’en passe… encore des chiffres. Toujours des chiffres. Des chiffres partout, tout le temps et qui savent tout mieux que nous.
Mais rappelle-toi : depuis le début de l’humanité et jusqu’aux années 60, il n’y avait pas de chiffres pour contrôler ton alimentation. On le faisait à l’expérience, au bon sens et à l’instinct. Trois choses dont on veut nous spolier aujourd’hui et qui fonctionnaient pourtant drôlement mieux… D’ailleurs – ironie de la chose – ce sont les chiffres eux-mêmes qui le disent : ceux de l’obésité. Et des chiffres sérieux, attention : ceux de l’OMS, s’il vous plaît !
Pour entériner mon propos, je ne résiste pas à la tentation de rappeler un slogan pas si lointain : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres ». Le message, c’est que face à un chiffre, on ferme sa gueule. Ni plus, ni moins.
Eh bien moi, à rebours de toutes ces injonctions et de tous ces diktats désincarnés qui nous éloignent de plus en plus de nous-mêmes, et qui tendent à toujours faire passer les raisonnements déformés de nos têtes avant l’instinct pur et vrai de nos tripes, je dis STOP !!! Enlève ta montre connectée, désinstalle ton appli de comptage des calories, ne monte plus qu’une fois par mois sur ta balance et regarde ce que ça fait de vivre LIBRE !
Où sont passées les femmes ?!
L’époque prône le féminisme à tout-va et pourtant, en matière de poids et d’alimentation, on est encore et toujours soumises à des mythes risibles et limitants comme celui des calories, et à des régimes bourrés d’injonctions nocives et contradictoires. Et le meilleur, c’est qu’ils sont tous inventés… par des hommes !!
Dukan, Montignac, Zermati, Atkins : tous des hommes, qui ont cru bon de nous expliquer, à nous, pauvres idiotes, comment il fallait manger pour que notre corps mincisse et devienne enfin attirant (eh bah oui, parce que ça va forcément de pair…), sans se soucier de notre santé mentale, émotionnelle ou hormonale, avec une fausse compassion et une condescendance qui m’écœurent sincèrement à l’heure actuelle (d’ailleurs, le côté « business, business » en a rattrapé un, qui a découvert que la médecine n’était pas un commerce ! « Woups ! Il faut que je remette le nez dans mon serment d’hypocri…D’HIPPOCRATE ! »)
On sait bien à présent, avec tout le recul qu’on a, que ces méthodes et ces régimes sont globalement foireux : 95% échouent à long terme. C’est franchement loin d’être brillant ! D’ailleurs, je ne connais absolument personne qui en ait suivi un et qui soit resté mince ad vitam grâce à ça !
Toi, oui ?
Et pourtant…on continue à s’aplatir devant les dogmes de ces messieurs, sans jamais les remettre en question. Et on continue de tout bien tout compter nos calories, tout bien tout peser nos aliments, pour pas dépasser les seuils établis. « Attention, c’est l’monsieur qu’a dit ! Et il est DOCTEUR en plus !! » (Oui bon, à part Montignac.)
En octroyant autant de crédits à ces régimes et à ces méthodes, nous avons dit : « D’accord, nous, on est des cruches, on a cru qu’on savait comment notre corps fonctionne, mais en fait on ne sait pas : c’est vous qui savez, messieurs. Apprenez-nous, guidez-nous, formatez-nous, sauvez-nous ! ENDOCTRINEZ-NOUS, SI DOCTES DOCTEURS !! »
STOP !!!
Il est temps de nous reconnecter à notre sagesse interne, la même qui a guidé des générations et des générations de femmes bien avant nous et de nous libérer de ce symbole de l’asservissement féminin et de la bêtise généralisée que représente le comptage des calories !
Nous n’avons pas besoin qu’on nous explique quoi et dans quelles quantités manger, nous sommes libres de faire ce choix nous-mêmes, nous savons ce qui est bon pour nous et nous sommes fortes !
Autorisons-nous à manger librement et sans en faire une obsession, pour pouvoir faire de GRANDES choses, nous investir dans des domaines et des projets qui comptent VRAIMENT, des choses que nous serons FIÈRES de laisser derrière nous en quittant cette terre, plutôt que de tout faire, tout tenter, tout renier, tout subir, tout CALCULER pour pouvoir ENFIN rentrer dans une petite robe noire en taille 36, et ce toujours pour….eh bah toujours pour faire plaisir à « ces messieurs ». Non mais honnêtement…
ça va durer encore longtemps, cette folie ?!
EN CONCLUSION...
Laisse-moi te dire une dernière chose : la vie est trop courte, trop riche et bien trop magnifique pour focaliser sur des micro-sujets à la con comme celui des calories.
Libère-toi une bonne fois pour toutes de tous les carcans que tu as élaborés dans ta jolie petite tête, dans l’espoir de garder le contrôle de ta vie. Ça ne marche même pas, regarde : tu as beau tout calculer, tout compter, tout décortiquer, tu as toujours des compulsions !! Alors à quoi bon ?
L’humilité est l’une des clés de ta guérison.
Il n’est pas facile d’en faire preuve, surtout que ce n’est pas de ta faute si tu crois détenir la vérité et agir comme il faut : c’est le mensonge qu’on te serine à longueur de temps depuis que tu es en âge de t’intéresser à tout ça, alors forcément, tu y crois ! Apprends à désapprendre, avec humilité et douceur. Ce n’est pas de ta faute si tu t’es trompée par le passé, mais c’est ta responsabilité de faire ce qui est juste à présent. Tout est là.
Si tu lâches ta volonté de tout contrôler, tu vas découvrir que tu peux vivre libre, heureuse et en pleine forme tout en gardant, non pas le « contrôle », mais la « maîtrise » de ta vie.
Tu ne saisis pas la différence entre « maîtrise » et « contrôle » ? C’est l’objet d’un autre article !
Tu sais, j’ai perdu 15 années de ma vie à compter les calories de tout ce que je mangeais de manière obsessionnelle et ça ne m’a JAMAIS SERVI À RIEN. Depuis 6 ans que je ne le fais plus, je n’ai jamais eu une alimentation aussi satisfaisante et un poids aussi stable. Au point que ça m’étonne encore ! Après ma dernière grossesse qui m’a fait prendre 16 bons kilos, mon poids est redescendu en 7 mois à celui que je faisais avant de tomber enceinte. À aucun moment, je n’ai compté mes calories pour en arriver là. À aucun moment. En somme, je dirais que je ne me suis jamais sentie aussi libre et bien dans ma peau de toute ma vie, et je te souhaite sincèrement de connaître cela toi aussi !
En résumé, nous avons vu dans cet article que :
compter les calories impacte négativement ta vie sociale, puisque les restrictions que tu t’imposes te placent face à des cas de conscience très stressants lorsque tu es invitée. Tu peux même refuser des invitations afin d’éviter ces situations délicates ;
la calorie est une invention récente, dont l’être humain s’est passée durant des millénaires au cours desquels l’obésité était anecdotique, et qui s’est répandue dans le monde de la nutrition en même temps que les taux de surpoids et d’obésité se sont mis à exploser (et ils augmentent toujours, d’une manière qui semble inexorable) ;
plutôt que de manger le moins possible de calories, il vaut mieux se placer dans une optique de manger beaucoup d’aliments sains et naturels, afin de conserver un métabolisme élevé, d’être rassasiée plus longtemps et ainsi de parvenir à ses objectifs de poids ;
restreindre tes calories stresse intensément ton cerveau reptilien contre lequel ta volonté, ta raison et tes calculs seront toujours impuissants ;
pour répondre aux besoins de ton corps, il vaut mieux faire confiance à tes sensations de faim et de satiété, ainsi qu’à ton bon sens et à ton instinct (à condition d’avoir, au préalable, apaiser ton rapport à toi et à la nourriture) ;
pour renouer avec ton pouvoir, ta souveraineté de femme et te sentir forte dans la vie, il est nécessaire de t’affranchir de la dictature des chiffres et du bluetooth, qui te déconnecte de toi-même et de ta merveilleuse et infinie sagesse interne.
Petite question avant de nous quitter : les personnes bien dans leur peau que tu connais et qui ont un poids stable toute l’année comptent-elles sans arrêt leurs calories ? N’hésite pas à me répondre dans les commentaires et à me partager ta propre expérience avec le comptage des calories.
Si tu veux en finir dès maintenant avec les compulsions et l’obsession des calories mais que tu ne sais pas du tout par où commencer ou que des peurs très fortes te retiennent, je t’invite à rejoindre le programme « Ma Vie Sans Crises ».
Je t’y explique tout ce qu’il faut que tu saches pour te libérer de tes obsessions actuelles et retrouver une relation saine avec ton corps et avec la nourriture, POUR TOUJOURS.
C’est le pré-requis ultime à toute perte de poids efficace, saine et durable.
Sur ce, je te souhaite de passer une excellente journée… sans compter tes calories ! 😉
